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Gérez les locataires d’un co-living avec un outil no-code facilement

Temps de lecture :

2/9/2025

Gérer les locataires d’un co-living avec un outil no-code, c'est avant tout se simplifier la vie en créant une application sur mesure. Cette approche permet de tout centraliser : la réservation de chambres, la signature de contrats numériques ou encore le suivi des charges partagées. Et tout ça, sans écrire une seule ligne de code. On transforme une gestion qui peut vite devenir un casse-tête en un processus fluide et vraiment efficace.

Pourquoi la gestion de co-living exige une approche agile

Le co-living, c'est la réinvention de l'habitat partagé. On mise tout sur la flexibilité, la communauté et les services. Le problème, c'est que cette modernité se heurte souvent à des méthodes de gestion complètement dépassées. Les tableurs Excel qui n'en finissent plus, les groupes WhatsApp où l'information se perd et les échanges d'e-mails interminables… On atteint très vite les limites face à la dynamique si particulière de ces espaces.

La nature même du co-living amène son lot de défis que les outils traditionnels ne savent tout simplement pas gérer.

Les limites des méthodes traditionnelles

Entre les baux courts, le turnover constant des résidents et la gestion des espaces communs, il faut être hyper réactif. Un simple tableur est incapable de suivre en temps réel les disponibilités des chambres, les paiements ou les demandes de maintenance. Chaque arrivée ou départ devient une source d'erreurs potentielles et une montagne de tâches administratives.

Cette réalité est particulièrement frappante en France, où le marché du co-living explose. Le secteur a d'ailleurs déjà attiré 430 millions d'euros d'investissements, ce qui montre bien son potentiel et l'urgence de moderniser sa gestion.

En tant que gestionnaire, passer des heures à jongler entre un fichier Excel pour les loyers, une messagerie pour les demandes et un calendrier pour les réservations, c'est juste intenable. C'est non seulement inefficace, mais ça dégrade aussi l'expérience des résidents.

L'alternative no-code : une solution sur mesure

C'est précisément là que les outils no-code changent la donne. Ils offrent une solution hyper puissante pour bâtir un système de gestion centralisé, entièrement personnalisé, et ce, sans aucune compétence en programmation.

Imaginez une plateforme unique où vous pouvez :

  • Automatiser la réservation de chambres avec un calendrier qui se met à jour en temps réel.
  • Gérer les contrats numériques de la génération à la signature électronique.
  • Simplifier le suivi des charges partagées grâce à des calculs automatisés et transparents.
  • Centraliser les informations de chaque locataire (paiements, dates de séjour, documents).

Cette approche agile vous permet de vous adapter en un clin d'œil aux besoins de votre communauté, d'optimiser votre temps et, surtout, d'offrir une expérience résident fluide et professionnelle.

Choisir la plateforme no-code adaptée à votre co-living

Sélectionner le bon outil no-code pour gérer les locataires de votre co-living, c'est un peu comme choisir un bon emplacement : une décision stratégique qui influence tout le reste. Devant la jungle des options disponibles, on peut vite se sentir perdu. L'idée n'est pas de dénicher l'outil parfait qui fait le café, mais celui qui colle vraiment à vos besoins, que vous gériez un petit espace de cinq chambres ou un réseau bien plus grand.

Chaque plateforme a sa propre personnalité, son propre ADN. Airtable, par exemple, c'est le roi de la gestion de données complexes ; imaginez un tableur sous stéroïdes. Notion, lui, mise tout sur la collaboration et la flexibilité, ce qui en fait un candidat idéal pour bâtir un portail d'information complet pour vos résidents. Et puis il y a des outils comme Glide, qui permettent de créer des applications mobiles simples et efficaces en un temps record – parfait pour offrir une interface directe à vos locataires.

Définir vos critères de sélection essentiels

Pour bien choisir, il faut d'abord savoir ce qu'on cherche. Mettre vos priorités noir sur blanc vous évitera de vous noyer dans des fonctionnalités tape-à-l'œil mais inutiles pour vous.

Concentrez-vous sur ces quatre piliers :

  • Facilité de prise en main : Combien de temps pouvez-vous réellement passer à vous former ? Une interface intuitive est la clé pour que vous et votre équipe l'adoptiez rapidement.
  • Potentiel d'automatisation : L'objectif numéro un est de gagner du temps. Assurez-vous que la plateforme peut automatiser des tâches répétitives comme l'envoi d'e-mails de bienvenue ou les rappels de paiement de loyer.
  • Capacité d'intégration : Votre futur système ne doit pas vivre en autarcie. Des connexions natives avec des outils comme Stripe pour les paiements ou DocuSign pour les signatures électroniques sont de véritables game-changers.
  • Coût et évolutivité : Le prix doit correspondre à votre budget actuel, mais aussi vous permettre de grandir sans avoir à tout reconstruire dans deux ans.

Un bon outil no-code ne devrait jamais vous forcer à tordre vos processus pour rentrer dans ses cases. Au contraire, il doit être assez souple pour s'adapter à votre façon de travailler et grandir avec votre activité de co-living.

Ce visuel montre bien la répartition des demandes des locataires et ça saute aux yeux : la maintenance représente la moitié des requêtes ! C'est la preuve qu'il est crucial de choisir un outil qui gère impeccablement l'automatisation des tickets et le suivi des interventions.

Comparatif des outils no-code pour la gestion de co-living

Pour vous aider à y voir plus clair, voici un petit tableau qui met en perspective les plateformes les plus populaires pour la gestion locative. Il ne se veut pas exhaustif, mais il donne une bonne idée des forces et faiblesses de chacun pour vous lancer.

Outil Idéal pour Gestion des contrats Suivi des charges Interface locataire Courbe d'apprentissage
Airtable Centraliser et automatiser les données (locataires, paiements, maintenance). Excellente via intégrations (ex. Zapier + DocuSign). Très puissant avec des formules de calcul personnalisées. Limitée, souvent via un formulaire ou une vue partagée. Moyenne
Notion Créer un portail d'information complet et collaboratif (règles, événements). Basique, plutôt pour le suivi de statut que la génération. Possible mais moins automatisé qu'Airtable. Excellente, très intuitive et personnalisable. Faible
Glide Développer une application mobile simple pour les locataires. Possible via intégrations, mais moins direct. Peut afficher des données calculées ailleurs (ex. Google Sheets). Très bonne, optimisée pour le mobile. Faible à moyenne

Chaque outil a donc son terrain de jeu de prédilection. Airtable est une véritable machine de guerre pour le back-office, Notion brille pour la communication avec les résidents, et Glide est parfait pour mettre une app dans leur poche rapidement. Le choix dépendra vraiment de votre priorité numéro une.

Mettre en place un système de réservation de chambre efficace

Rien de tel que de mettre les mains dans le cambouis pour vraiment saisir la puissance d'un outil no-code. Oubliez les calendriers manuels et les dizaines d'e-mails qui s'accumulent. On va concevoir ensemble un système de réservation entièrement automatisé qui bosse pour vous. La première étape, et sans doute la plus importante, c'est de bâtir une base de données solide. C'est elle qui sera le cerveau de votre système, le cœur qui centralisera tout pour gérer les locataires de votre co-living avec un outil no-code.

Imaginez une base sur Airtable, par exemple. Chaque chambre y est une entrée unique, avec des champs bien définis : un nom sympa ("Chambre Zen"), un statut de disponibilité (Libre, Occupée, En maintenance), son tarif mensuel, quelques photos qui donnent envie, et même des détails comme "salle de bain privée" ou "vue sur cour".

Image

Cette structure, ce n'est pas juste un tableau de plus. C'est la fondation sur laquelle reposera toute votre automatisation. Une fois qu'elle est en place, vous pourrez créer des vues dynamiques en un claquement de doigts, comme un calendrier qui n'affiche que les chambres libres pour le mois prochain.

Créer un formulaire de réservation en ligne

Maintenant que votre base de données est prête, il faut la connecter à un formulaire en ligne. Des outils comme Softr ou même les formulaires intégrés d'Airtable sont parfaits pour ça. Ils permettent de créer une interface simple et pro que vos futurs locataires pourront remplir sans se prendre la tête.

Mais ne vous contentez pas de demander un nom et un e-mail. Rendez ce formulaire intelligent :

  • N'affichez que les chambres disponibles en se basant directement sur le statut dans votre base de données.
  • Demandez les dates de séjour souhaitées pour vérifier la disponibilité en temps réel.
  • Intégrez des champs pour uploader les pièces justificatives, comme une carte d'identité ou un justificatif de revenus.

Chaque fois que quelqu'un soumet le formulaire, une nouvelle entrée est créée automatiquement dans votre base, avec un statut "Demande en attente". Adieu la saisie manuelle et les risques d'erreur qui vont avec.

Automatiser le flux de validation et de communication

C'est ici que la magie opère et que vous allez gagner un temps fou. Dès qu'une demande de réservation arrive, une chaîne d'événements peut se lancer sans que vous ayez à lever le petit doigt.

L'idée, ce n'est pas d'automatiser pour le plaisir de la tech. C'est de créer un parcours locataire fluide et professionnel dès le premier contact. Une réponse rapide et claire inspire confiance et donne tout de suite une excellente image de votre co-living.

Voici à quoi pourrait ressembler un flux d'automatisation classique :

  1. Notification interne : Vous recevez immédiatement une alerte (par e-mail ou Slack) avec tous les détails de la nouvelle demande.
  2. Validation en un clic : Dans votre base de données, vous passez simplement le statut de la demande de "En attente" à "Validée".
  3. Mise à jour automatique : Le statut de la chambre bascule alors sur "Occupée", ce qui la retire instantanément des disponibilités sur votre formulaire public et votre calendrier.
  4. Communication avec le locataire : Un e-mail de confirmation personnalisé part automatiquement, expliquant les prochaines étapes, comme la signature du bail.

Cette approche transforme un processus administratif qui était lourd et répétitif en une série d'actions simples et quasi instantanées. La même logique s'applique à bien d'autres aspects de la gestion, un peu comme les techniques utilisées pour créer une app mobile de guide touristique en no-code, où l'automatisation est aussi la clé de voûte. En rendant tout ce processus transparent, vous allégez considérablement votre charge administrative et pouvez enfin vous concentrer sur ce qui compte vraiment : la communauté de votre co-living.

Digitaliser les contrats de location : de la génération à la signature

Une fois la réservation bien calée, on attaque l'étape que beaucoup redoutent : la paperasse des contrats. Soyons honnêtes, c'est souvent un vrai casse-tête, surtout avec le turnover assez rapide qu'on connaît dans le co-living. La bonne nouvelle, c'est qu'on peut aujourd'hui gérer les locataires d’un co-living avec un outil no-code de A à Z, en digitalisant complètement ce processus.

Le point de départ, c'est de générer le bail de location automatiquement. Imaginez : vous connectez votre base de données de locataires (construite sur un outil comme Airtable, par exemple) à un générateur de documents comme DocuGen ou Formstack Documents. En un seul clic, le contrat se crée, personnalisé avec toutes les infos du locataire (nom, dates, loyer...). C'est la fin des copier-coller interminables et des erreurs d'inattention qui peuvent coûter cher.

Intégrez la signature électronique pour que tout soit carré

Un contrat généré, c'est bien. Un contrat signé légalement depuis son canapé, c'est infiniment mieux. C'est là que la magie de la signature électronique opère.

L'intégration d'une solution comme DocuSign ou HelloSign change vraiment la donne. Avec des outils d'automatisation comme Zapier ou Make, le workflow est limpide : dès que vous validez un locataire, le contrat part pour signature. Le résident reçoit un lien sécurisé, signe en ligne, et le document devient juridiquement contraignant. C'est bien plus rapide et fiable qu'un échange de PDF par email. Cette approche s'inspire d'ailleurs des méthodes qu'on utilise pour automatiser l'onboarding des ressources humaines avec le no-code.

L'idée, ce n'est pas juste de se débarrasser du papier. C'est de créer une expérience locataire fluide, professionnelle, qui inspire confiance dès le premier jour.

Cette modernisation est d'autant plus pertinente que le marché français du co-living affiche une croissance estimée à 13,7 % par an entre 2025 et 2030. Dans ce secteur en plein boom, les acteurs qui se démarquent sont ceux qui proposent des expériences digitales intégrées. Le no-code est clairement un allié de poids pour y arriver. Pour creuser le sujet, les perspectives du marché français du co-living sont assez éclairantes.

Archiver les documents intelligemment

Un contrat signé, c'est super, mais il ne doit pas finir perdu au fond d'un disque dur. La dernière brique de votre automatisation, c'est de classer chaque document de manière intelligente et systématique.

On peut mettre en place une règle toute simple :

  • Détection du contrat signé : Votre outil d'automatisation (Make, Zapier) voit que toutes les parties ont signé via DocuSign.
  • Création d'un dossier : Il vérifie si un dossier au nom du locataire existe déjà dans votre cloud (Google Drive, Dropbox). Si non, il le crée.
  • Archivage automatique : Le contrat signé est alors automatiquement enregistré au bon endroit, dans le bon dossier.

Cette organisation impeccable vous garantit un accès immédiat à n'importe quel contrat en cas de besoin et centralise tous les documents importants pour chaque résident. Plus de stress, plus de perte de temps.

Simplifier le suivi des charges partagées

Parlons d'un sujet qui fâche : la répartition des charges communes en co-living. Électricité, internet, ménage… ces coûts partagés peuvent vite tourner au vinaigre s'ils sont mal gérés. Heureusement, utiliser un outil no-code pour gérer les locataires d’un co-living transforme ce casse-tête en un processus limpide et quasi automatique.

L'idée, c'est de créer un tableau de bord central où chaque facture est enregistrée dès qu'elle arrive. Imaginez une base de données toute simple : une entrée par dépense avec le type de charge, le montant, la date, et un scan de la facture. Cette centralisation, c'est la fin des oublis et des erreurs de saisie qui créent des tensions.

Configurer des calculs de répartition automatiques

Une fois les factures bien rangées, la magie du no-code opère. Fini, les soirées à jongler avec la calculette pour diviser les montants. Vous allez pouvoir configurer des règles de calcul qui s'appliqueront toutes seules, sans que vous n'ayez à y penser.

Voici quelques modèles de répartition que vous pouvez facilement programmer :

  • Division égale : C'est la base. Le coût total est simplement divisé par le nombre de locataires présents sur la période. Simple, efficace.
  • Au prorata de l'occupation : Une méthode bien plus juste. La part de chacun est calculée selon son nombre exact de jours de présence dans le mois. Idéal pour gérer les arrivées et départs en cours de route.
  • Selon la surface de la chambre : Très pertinent si les chambres ont des tailles différentes. Les charges communes sont alors réparties proportionnellement à l'espace privé de chacun.

Cette automatisation n'assure pas seulement des calculs sans erreur, elle bâtit la confiance. Chaque locataire sait que les règles sont les mêmes pour tout le monde, appliquées sans favoritisme.

La transparence est vraiment la clé d'une gestion des charges apaisée. Quand un locataire peut voir noir sur blanc comment sa part a été calculée, ça désamorce 90 % des conflits potentiels et ça crée un vrai climat de confiance.

Dans un marché immobilier qui demande de plus en plus de rigueur – on voit par exemple l'évolution du marché immobilier français et ses fluctuations –, optimiser sa gestion est devenu vital. Les outils no-code apportent cette souplesse en simplifiant des processus complexes, comme le suivi des paiements, sans avoir à lancer des développements informatiques coûteux.

Déclencher des notifications de paiement personnalisées

La dernière étape, c'est de communiquer tout ça clairement à chaque résident. Votre système peut être réglé pour envoyer automatiquement un e-mail ou une notification à chaque locataire en début de mois. Un vrai jeu d'enfant à mettre en place.

Ce message personnalisé contient un récapitulatif complet : le montant total de chaque charge, le calcul appliqué pour sa part, et le total à régler. Le top du top ? Y joindre un lien de paiement direct (via Stripe, par exemple) pour simplifier la vie de tout le monde. Pour creuser davantage l'automatisation de vos process, vous pouvez vous inspirer des méthodes utilisées dans la gestion de projet en no-code. Cette approche proactive réduit drastiquement les retards de paiement et vous libère un temps précieux pour vous occuper de ce qui compte vraiment : l'animation de votre communauté.

Les questions que vous vous posez sur le no-code pour votre co-living

Quand on envisage de passer au no-code pour gérer son co-living, c'est normal d'avoir quelques doutes. Est-ce que ça tient vraiment la route ? C'est une usine à gaz à mettre en place ? On fait le point pour vous aider à y voir plus clair.

Un outil no-code peut-il vraiment gérer des dizaines de locataires ?

Oui, sans le moindre problème. Des plateformes comme Airtable ou Bubble sont pensées dès le départ pour monter en puissance (on parle de scalabilité). Gérer des bases de données avec des milliers d'entrées sans ralentir, c'est leur quotidien.

La clé, c'est de bien penser sa structure de données au début. Dès que vous dépassez quelques locataires, il devient crucial de créer des vues filtrées (par immeuble, par statut de loyer, etc.) et de mettre en place des automatisations solides. La plupart de ces outils proposent d'ailleurs des abonnements qui évoluent avec vous, augmentant la capacité de stockage et le nombre d'opérations à mesure que votre activité grandit.

Est-ce que les données de mes locataires seront en sécurité ?

La sécurité, c'est le nerf de la guerre pour les grands acteurs du no-code. Ils ne lésinent pas sur les moyens et s'appuient sur des protocoles de chiffrement standards, tout en hébergeant les données sur des infrastructures cloud ultra-réputées comme AWS ou Google Cloud.

Mais ce n'est pas tout. Ces plateformes permettent une gestion très fine des droits d'accès. Vous pouvez décider au cas par cas qui a le droit de voir ou de modifier une information. Bien sûr, il vous appartient de bien configurer ces permissions et de suivre les bonnes pratiques, comme l'utilisation de mots de passe robustes. Et pour les données sensibles, un point essentiel : assurez-vous que l'outil que vous choisissez est bien conforme au RGPD.

Un des gros avantages du no-code, c'est que la plateforme s'occupe de toute la maintenance de la sécurité de l'infrastructure. C'est une énorme charge mentale et technique en moins, ce qui vous permet de vous concentrer sur ce qui compte vraiment : la gestion de votre co-living.

Concrètement, ça prend combien de temps de créer un premier système de gestion ?

Le temps nécessaire va dépendre de deux choses : la complexité de ce que vous voulez construire et votre aisance avec l'outil choisi.

Pour un système de base qui vous permettrait de gérer les locataires de votre co-living avec un outil no-code (infos des résidents, calendrier des réservations, suivi des paiements), un débutant devrait prévoir entre 20 et 40 heures.

Le vrai plus du no-code, c'est qu'on peut y aller pas à pas. Vous pouvez très bien commencer par une seule brique, comme votre base de données locataires, puis venir greffer d'autres modules au fur et à mesure de vos besoins. Pour gagner du temps, de nombreux modèles (templates) sont aussi disponibles et peuvent vraiment accélérer le démarrage.

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Par Dominique Silvestre

CEO, Founder
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